Le Zinzin c’est un Orgue de Barbarie et ils sont Organistes Barbares, Tourneurs de manivelle et chanteurs …de rue…
la Rue, c’est une idée et un choix, Antoine et Fanny l’ont fait avec leur « Zinzin » (« un tout petit Zinzin, charmant petit zinzin, qui fait d’un ciel tout gris un ciel bleu au matin… »comme disait Barbara !), la rue c’est leur scène, leur ring, ils cultivent la rue, ils investissent toutes sortes de lieux, friches, campagnes, forêts, villages, villes cours d’immeubles, pour animer les fêtes, les brocantes, les repas ou juste pour le bonheur… ! Mais attention ils n’ont rien contre les intérieurs douillets des maisons de retraites, des salles des fêtes ou des coins de cheminées, le Zinzin a sa place partout pour faire rire et chanter !
Chansons d’hier ou d’aujourd’hui (plus de cent !), le Zinzin vous entraîne dans un tourbillon de nostalgie et de gaîté, sur les pas de Fréhel, Piaf, Prévert, Bourvil, Vian, Brassens, Aznavour et bien d’autres, anciens ou plus modernes. Ces chansonniers du 20ème siècle nous parlent de Paris, des Guinguettes, de l’Amour dans des chansons réalistes ou des « goualantes » où se mêlent le rire et l’émotion.
L’Orgue de Barbarie n’est pas un instrument comme les autres, il fait renaitre Julot et Nana, Julie la rousse, Nini Peau d’Chien, et la Mome catch-catch pour « la plus bath des Java » !
Les deux orgues de Barbarie, le grand sur chariot, à cartons et à flûtes, le petit à anches et à rouleaux, porté à l’épaule viennent à la rencontre du public, l’invitant à danser, à chanter,et pour ceux qui auraient oublié les paroles, Antoine et Fanny mettent à la disposition de chacun les livrets avec les textes des chansons.
Alors qu’est-ce qu’on attend pour être heureux !
